Chez Orbit, mai 2013.
344 pages, 16€90.
Ma note : ★★★★☆
Quatrième de couverture :
Lady Maccon est en pleine béatitude domestique. Une béatitude à peine troublée par la fréquentation de quelques loups-garous de la haute société et celle du second placard préféré d'un vampire, sans oublier un bambin précoce ayant des dispositions incontrôlables au surnaturel...
Mais Alexia vient de recevoir un ordre qu'elle ne peut ignorer. Avec mari, enfant et famille Tunstell au complet, elle embarque à bord d'un bateau à vapeur pour traverser la Méditerranée. Direction l'Egypte, une terre qui pourrait bien tenir en échec l'indomptable Alexia. Que lui veut la Reine vampire de la ruche d'Alexandrie ? Pourquoi un ancien fléau s'abat-il de nouveau sur le pays? Et comment diable Ivy est-elle devenue du jour au lendemain l'actrice la plus populaire de tout l'Empire britannique?
Mon avis :
Je vous déconseille de lire ma chronique si vous n'avez pas lu les premiers tomes, je ne vais pas révéler les détails importants de l'intrigue mais pour pouvoir parler de mon ressenti par rapport à ce roman, je suis obligée de parler de certains éléments qui apparaissent au fil des quatre premiers tomes...
Alexia Tarabotti nous emmène ici dans sa cinquième et dernière aventure (du moins, c'est le dernier tome, mais j'imagine qu'elle est loin de mener une vie tranquille). Après avoir affronté des vampires, des meutes de loup-garous et une grossesse, la voici maintenant avec son époux et sa fille en route pour l'Egypte après que la reine de la ruche d'Alexandrie ne l'ait convoquée. Le voyage réunit de nouveau Ivy et Alexia et leur fameux club secret, et c'était un vrai plaisir de retrouver les deux amies toutes deux devenues mamans.
Comme toujours, Gail Carriger nous emmène avec talent dans cette nouvelle aventure qui est encore pleine de rebondissements et d'humour. Je n'ai absolument pas été déçue (si ce n'est que c'est la fin de la saga, alors si, un peu quand même). Après avoir été en Ecosse, nous voilà en Egypte et d'autres coutumes grâce à la ruche d'Alexandrie.
J'ai mis du temps avant de me plonger dans ce cinquième tome (deux ans qu'il traîne dans ma PAL ce petit...) parce que je ne voulais tout simplement pas quitter Alexia, Conall, Ivy, Akeldama et tous les autres auxquels je me suis énormément attachée. J'ai eu un petit pincement au cœur en refermant le livre. L'écriture de Gail Carriger est un vrai régal, bourré de références, de piques, d'ironie et d'humour... C'est un vrai plaisir et Alexia est une héroïne forte et moderne pile comme je les aime. J'ai adoré suivre ces cinq aventures riches en révélations et retournements de situations.
Bien que ce cinquième tome ne soit pas mon préféré (le premier est et restera le meilleur pour moi), j'ai passé un excellent moment et je trouve qu'il s'agit d'une très bonne conclusion à la série !
Les points positifs : le voyage en Egypte et toutes les coutumes qui y sont associées, le nouveau rôle de parents d'Alexia et Conall, le caractère d'Alexia toujours aussi explosif.
Les points négatifs : pour un dernier tome, je m'attendais à quelque chose de plus explosif et mouvementé, mais c'est une bonne fin.
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