Plum est une petite chatte qui vit heureuse dans sa famille. Un jour, elle voit tomber du ciel une petite boule de poils noire ! Il s'agit d'un chaton seul et affamé qu'elle prend en affection et ramène à la maison. Ses maîtres décident immédiatement de l'adopter et de l'appeler Flocon en raison de ses deux petites taches blanches sur la tête. Mais Plum va vite commencer à croire que cette idée n'était pas la meilleure. Car qui va accaparer l'affection de ses maîtres ? Qui va taper dans les croquettes ? Et qui va lui piquer les meilleures places de la maison ? C'est Flocon ! Plum parviendra-t-elle à cohabiter avec son nouveau compagnon ? Découvrez-le dans cette adorable histoire de chats où situations cocasses et attendrissantes s'enchaînent !
Mon avis :
Je ne suis pas très fan de mangas, mais quand ça parle de chats j'essaie de faire un effort. Je connaissais déjà les mangas sur Chi, qui sont plutôt porté sur l'humour, et en trouvant ces deux premiers tomes sur une brocante, je me suis laissée tenter.
Je ne regrette absolument pas puisque j'ai passé un excellent moment. Déjà, l'histoire est absolument adorable et tous les amoureux de chats, ou maîtres de chats sauront se reconnaître ici, mais en plus, les illustrations sont vraiment magnifiques et surtout très réalistes contrairement à celles de Chi qui sont plutôt enfantines (mais tout aussi mignonnes et agréables). L'histoire de Plum et sa vie qui se retrouve chamboulée avec l'arrivée d'un nouveau chaton dans sa maison n'était pas sans rappeler celle de mon propre chat quand j'ai décidé d'en prendre un deuxième. La cohabitation est assez difficile au début, mais la relation évolue et les deux chats apprennent à se connaître. Il y a des scènes vraiment mignonnes, mais d'autres également très drôles. Il n'y a pas énormément de dialogues. Cela convient aux petits comme aux grands.
C'est un manga absolument craquant, et les illustrations très détaillées sont vraiment un gros point positif. Je continuerai avec plaisir la série !
Retrouvez, réunis en un seul ouvrage, les sept volumes du Monde de Narnia. Guidé par le Lion Aslan, découvrez dans son intégralité la saga fantastique du grand romancier C.S. Lewis.
Mon avis :
Je connaissais déjà l'univers de Narnia créé par C.S. Lewis grâce aux trois adaptations cinématographiques qui, malgré tout ce que l'on peut dire, sont des films que j'ai adoré quand ils sont sortis et que j'aime toujours autant regarder aujourd'hui. Cela n'a donc pas été une entière découverte.
Cependant, j'ai adoré me plonger dans cette relique de ma PAL, qui appartenait à ma grande sœur à la base, et que j'ai récupéré il y a de ça plusieurs années. Quel plaisir de se plonger dans l'univers de Narnia et d'en apprendre plus, de découvrir de nouvelles aventures qui m'étaient complètement inconnues alors qu'elles dormaient sagement sur mon étagère depuis si longtemps...
J'ai particulièrement aimé découvrir l'origine de Narnia, la création de ce monde, de la sorcière blanche et les autres histoires concernant les enfants Pevensie et leur cousin Eustache. Et forcément, j'ai adoré découvrir les tomes à l'origine des trois films.
L'écriture et l'imagination de C.S. Lewis sont vraiment impressionnantes, j'ai lu les tomes en faisant une pause entre chacun, mais à chaque fois que je me plongeais dans un nouveau tome, j'avais du mal à me détacher du livre et je le terminais d'une traite. Les tomes en eux-mêmes sont assez courts, un peu plus d'une centaine de pages à chaque fois. L'écriture est fluide, facile et agréable, je regrette de ne pas m'être plongée dans ce pavé plus tôt, de ne pas avoir suivi ces si belles aventures plus tôt.
Malgré tout, cela n'a pas été un coup de coeur, j'ai remarqué que la religion était très abordée, et le ton des tomes en général était plutôt moralisateur. Je me doute que si je l'avais lu plus jeune, je n'aurais sans doute pas remarqué ces aspects du livre... ce n'est pas que ça m'a gêné, mais j'aurais préféré quelque chose de plus léger.
C’est une vérité universellement reconnue qu’une célibataire à l’aube de la trentaine doit avoir envie de se marier. »
La bonne blague. C’était peut-être vrai au XVIIIe siècle, mais, aujourd’hui, Jane Austen a tout faux. Elizabeth en est la première convaincue ; d’ailleurs, les hommes, l’amour, le mariage et tout ce qui va avec, elle les a soigneusement rangés dans une petite boîte. Une petite boîte bien fermée et enterrée six pieds sous terre. Non, vraiment, pour elle, c’est fini. Les hommes sont morts, vive les chiens ! Un chien, ça ne trompe pas, ça ne râle pas, ça vous fait toujours la fête et c’est content de vous voir. Et Bliss, sa chienne adorée, le lui prouve tous les jours. D’ailleurs, c’est elle qu’elle a choisi d’emmener à Londres – de l’autre côté de l’Atlantique ! – pour commencer sa nouvelle vie de nounou de chiens de concours.
Mais, sur place, rien ne se passe comme prévu lorsqu’elle croise l’irritant et arrogant et désagréable et odieusement sexy Donovan Darcy, milliardaire, éleveur de chiens de race.
Et – accessoirement – membre du jury…
Mon avis :
J'adore les réécritures de Jane Austen en général, parce que cela me permet de me replonger dans l'univers de cette écrivaine même si tous ses ouvrages sont déjà sortis et connus de tous. C'est pourquoi je n'ai pas hésité à me plonger dans cette réécriture moderne d'Orgueil et Préjugés.
Mais s'il s'agit effectivement d'une réécriture, elle est très éloignée de l'oeuvre originale et c'est ce qui m'a le plus déçue lors de ma lecture. Je m'attendais à retrouver différents aspects qui font que j'aime tant O&P, et malheureusement seulement quelques détails sont réunis ici. Par exemple, les noms Darcy et Elizabeth sont les seuls en commun avec l'oeuvre originale, et les relations entre les personnages sont vaguement ressemblantes, mais cela s'arrête là. J'aurais aimé voir plus la famille d'Elizabeth et Jenna, puisqu'elle a une part tellement importante dans l'oeuvre de Jane Austen, tout comme la relation Bingley/Jane, ici survolée rapidement avec la relation Henry/Jenna.
Malgré tout, j'ai passé un bon moment en réussissant à faire abstraction de tous ces détails et en prenant ce roman comme un roman à part entière et non pas comme une réécriture. L'univers des concours canins était un choix original et j'avoue avoir trouvé certaines scènes répétitives, bien qu'intéressantes puisque c'est un monde dont j'ignore absolument tout. Le personnage d'Elizabeth m'a également plu, je me suis attachée à elle et j'avais de la compassion pour sa situation, elle se retrouve à faire des choix difficiles pour sa vie professionnelle. Je regrette que le personnage de Donovan n'ait pas eu plus de profondeur, même si les scènes avec sa sœur relevaient un peu le niveau...
J'ai donc passé un bon moment, c'est une romance sympathique, qui se lit très rapidement, mais qui ne satisfera probablement pas les fans de Jane Austen s'ils prennent ce roman en cherchant à prolonger l'univers de l'auteure.
Ce week-end, 19 et 20 septembre 2015, j'ai eu la chance de pouvoir assister à la deuxième édition de la convention Rebels Spartacus organisée par People Convention. Pourquoi je parle de chance ? Parce que j'ai gagné mon pass suite à un concours qu'ils organisaient sur Instagram, tout comme j'avais gagné mon pass pour la première édition. Il faut croire que Spartacus me porte chance ! Mon amie Marine, qui avait aussi participé au concours, a elle aussi gagné son pass, ce qui était encore plus génial parce que nous avons passé le week-end ensemble.
Parmi les invités : Liam McIntyre (Spartacus), Dan Feuerriegel (Agron), Peter Mensah (Oenomaus), Viva Bianca (Illithyia), Dustin Clare (Gannicus), Nick Tarabay (Ashur), Shane Rangi (Dagan) et Gwendoline Taylor (Sybil).
Nous sommes donc arrivées un peu en avance samedi matin pour retirer nos pass. Comme je prévois d'aller à la RingCon début novembre, je n'avais pas acheté beaucoup d'extras : seulement un photoshoot et un autographe avec Viva Bianca. C'était elle qui me tentait le plus Illithyia étant mon personnage préféré dans la série, j'ai adoré la détester ! Si j'avais eu les sous, j'aurai pris des photos avec chaque acteurs mais certains étaient déjà présents à la première édition donc je n'avais pas trop de regrets.
Samedi, la journée a commencée avec la cérémonie d'ouverture, puis le panel de Shane Rangi et Nick Tarabay. Et on peut dire que ça a commencé fort. Ils étaient tous les deux très en forme, ils ne sont pas restés sur la scène et ont préféré déambuler dans la salle, entre les rangées, parler avec les gens eux même sans l'intermédiaire de l'animateur Ico. J'ai rarement vu un panel aussi drôle ! Leur amitié dans la série les a clairement rapprochés, et on a appris plus tard que cela faisait plusieurs années qu'ils ne s'étaient pas vu, donc ils en profitaient pour rattraper le temps perdu !
Ensuite, les animations habituelles d'une convention ont permis de passer un peu le temps, j'ai rencontré des gens super également. L'ambiance était très familiale contrairement à la FairyTales 3 organisée en juin dernier par Xivents où c'était clairement la folie, là, tout se passait dans les temps, pas de bagarre, pas de bousculade. Tout s'est fait dans le respect des acteurs et je pense que c'est aussi ça qui fait que j'aime autant la série : le tempérament des fans. C'est un public beaucoup plus adulte et ça se ressent aussi lors des questions posées pendant les panels.
Marine et moi avons ensuite pu faire notre photo avec Viva, et comme nous passions parmi les derniers de la file j'ai pu discuter un peu avec elle : c'est une femme adorable ! Rien à voir avec son personnage. Elle est très douce, posée, calme... Rien d'une psychopathe ahah ! J'ai donc parlé d'Illithyia, que c'était mon personnage préféré et elle a eu l'air vraiment touchée que je lui dise ça ♥
Puis nous avons eu un quizz entre fans dans la grande salle, un fan posait une question et repartait avec un chèque cadeau de 10€ à dépenser comme il le souhaitait, et celui qui répondait gagnait un autographe, une photo ou un meet & greet avec un acteur. Marine a posé une question et a gagné un chèque, j'ai répondu à une question et j'ai gagné un autographe de Peter Mensah :-) elle m'a ensuite donné son chèque cadeau parce qu'elle n'avait pas assez pour acheter quoi que ce soit, du coup j'ai craqué pour une photo avec Nick Tarabay que j'ai prise dans l'après-midi.
Le panel de l'après-midi était celui de Dustin Clare et Peter Mensah, tous les deux beaucoup plus reservés que Nick et Shane, mais on a appris des petites choses sympathiques. Par exemple, Peter a eu le droit de garder son fouet, qu'il a ramené le lendemain pour les photoshoots, et Dustin a gardé le glaive en bois que Gannicus reçoit à la fin du préquel quand il est enfin libre, ainsi que d'autres petits accessoires. Dustin nous a aussi parlé de son film, Sunday, qui était en vente en DVD à la boutique.
Puis la séance d'autographes. Malheureusement, Marine n'a pas pu m'accompagner donc elle m'a attendue à la sortie. J'ai d'abord fait celui de Peter, qui m'a dit que c'était sa toute première convention Spartacus et donc la première fois qu'il se réunissait avec des fans comme ça, qu'il ressentait la passion pour cette série et qu'il était vraiment très touché. À la base, il ne devait être présent que le samedi mais a décidé de revenir le dimanche, ce qui prouve bien qu'il a apprécié notre compagnie ;-) Puis j'ai fait celui de Viva, celui que j'attendais tout particulièrement même si j'avais peur de ne pas savoir quoi lui dire... Au moment où je suis arrivée dans sa file, elle est partie de la salle pour aller se changer parce qu'elle mourrait de chaud et ne se sentait pas bien, mais elle est revenue et à repris les autographes comme si de rien n'était, adorable et souriante. Je suis passée et elle m'a reconnue du photoshoot, me redemandant mon prénom "Aude", elle a regardé son petit ami en disant que les prénoms français étaient magnifiques et c'est là qu'on a commencé à discuter, parce que moi je n'aime pas du tout mon prénom (forcément ahah !). C'était vraiment adorable comme discussion.
Fin du samedi ! Bien fatigant, je n'avais rien de prévu pour le dimanche du coup, ça allait être bien plus reposant.
Le dimanche matin, nous sommes aussi arrivées en avance et nous avons passé la journée avec Laetitia. Le panel du matin était avec Viva et Gwendoline, qui nous ont avoué que si elles avaient pu jouer un rôle masculin dans la série, elles auraient joué Gannicus et Oenomaus. Gwendoline nous a parlé de sa carrière d'actrice et Viva de ses projets de carrière. C'était très posé comme panel, je pense qu'elles étaient assez crevées après la soirée du samedi soir !
Puis la journée est passée doucement, mais bien trop rapidement quand même à mon goût... J'ai rencontré des gens passionnés, qui ne jugent absolument pas les fans qui achètent des pass de conventions, on se comprend puisqu'on est tous réunis pour la même chose. J'ai aussi pu rencontrer Catty qui me suit (et que je suis) sur Instagram parce que l'on a subit la même opération chirurgicale récemment et ça nous a permis d'en discuter un peu. Marine a également fait sa photo avec Dan :-)
Le panel de l'après-midi était celui de Dan et Liam. Et Liam était déchaîné, je pense que Nick a déteint sur lui ! Il roulait par terre sur scène, se cachait derrière les rideaux, courrait dans la salle pendant que Dan essayait de calmer le jeu. C'était super !
Dans l'après-midi, Marine et venue nous voir avec Laetitia et nous a chuchoté que Nick et Shane étaient planqués au fond de la salle à faire des selfie, qu'il fallait y aller discrètement si on en voulait un. Assis derrière les chaises du dernier rang, on faisait la queue hyper calmement, tous sages. J'ai rarement vu une aussi bonne ambiance. Les acteurs avaient l'air de s'éclater, à faire des selfies plus fous les uns que les autres. Alors quand Nick a lu ma coque de portable qui disait "Always be rouself unless you can be a unicorn, then always be a unicorn" il m'a dit qu'il connaissait la même mais avec Batman, mais qu'une licorne c'était largement mieux et Shane a décidé de faire la licorne sur le selfie :'-D ils sont fous !
Je trouve ça particulièrement cool que les garde du corps aient laissé la chose se faire. Ils nous demandaient juste de partir quand la photo étaient faite, pour éviter qu'une foule se créée autour des acteurs et que la chose ne soit plus gérable... Tout comme les organisateurs de la convention, puisque pour une photo il faut normalement payer... Mais là, même les membres du staff venaient faire leur photo, c'était très bon enfant !
Et puis la journée s'est terminée avec le panel général, tous les acteurs. On a appris tellement de choses, c'est difficile de tout retranscrire ici. C'était surtout des anecdotes de tournage. Les garçons ont répondu à la même question que les filles, s'ils devaient être un personnage féminin, lequel seraient-ils ? Et ils ont tous répondu Crixus, pour nous faire rire forcément. Viva nous a raconté le tournage de la scène de sexe avec Andy dans la première saison, qu'elle avait duré 12 heures et qu'à la fin ils n'en pouvaient plus et riaient pour un rien. Nick nous a raconté que Craig Parker, en dégainant son épée, faisait un bruitage ressemblant à "FLAF !"... Que des petites choses qui font qu'on se sent encore plus proches de la série maintenant :-)
Je n'ai malheureusement pas pu assister à la cérémonie de cloture, parce que Marine devait prendre son train et le programme avait pris du retard... Je l'ai accompagnée mais je n'ai apparemment pas raté grand chose. Si une troisième édition a lieu, je ferai tout mon possible pour m'y rendre !
Foolish love appears to be a Roux family birthright. And for Ava Lavender, a girl born with the wings of a bird, it is an ominous thing to inherit. In her quest to understand her peculiar disposition and a growing desire to join her peers, Ava ventures into the wider world. But it is a dangerous world for a naive girl - a world which may view her as girl or angel. On the night of the summer solstice celebration, the skies open up, rain and feathers fill the air and Ava's journey and her family's saga reaches a devastating crescendo. First-time author Leslye Walton has constructed a layered and unforgettable mythology of what it means to be born with hearts that are tragically, exquisitely human.
Mon avis :
Il va m'être difficile d'écrire une chronique un tant soit peu structurée pour ce livre, tant ça a été un coup de coeur pour moi. Dès les dix premières pages, je sentais que j'allais me plonger dans une histoire pas comme les autres, que je n'avais encore jamais eu l'occasion de rencontrer lors de mes lectures YA. Et je ne me suis pas trompée. Je n'avais lu que des avis positifs sur ce roman, et je comprends bien mieux pourquoi.
Ava Lavender est un personnage que l'on apprend à connaître d'abord par un prologue, où elle nous raconte sa naissance : Ava est née avec des ailes. Personne ne comprend pourquoi, ni ne saurait l'expliquer. Elle est un mystère. Le roman se construit alors comme une suite de chapitres sur les femmes de sa famille, et les hommes et autres personnes qui ont pu croiser leur route. Ava cherche à comprendre pourquoi elle est née telle qu'elle est et pourquoi son frère jumeau, Henry, est lui aussi un peu différent des autres, sans pour autant avoir hérité d'ailes. Je ne veux pas en dire trop sur l'intrigue, je pense que pour avoir un coup de cœur il faut éviter de trop en savoir et se laisser porter par les pages. Le résumé ne nous laisse pas deviner tout ce que l'on va vivre avec Ava et sa famille et je pense que c'est tant mieux.
L'écriture de Leslye Walton, pour commencer, est un vrai petit bijou. Il s'agit ici de son premier roman publié, ce qui est bien dommage parce que j'aurais été ravie d'en découvrir plus mais je vais suivre son actualité dès maintenant. L'auteure a une façon de tourner les choses qui est à la fois originale et poétique, mais aussi fluide et facile à lire. On se laisse glisser dans le monde d'Ava et on refuse d'en sortir. La fin est elle aussi très surprenante, les derniers chapitres ont presque l'aspect d'un thriller et j'ai adoré.
C'est un roman absolument magnifique dont l'histoire m'a chamboulée et je pense que tout le monde, adolescents ou adultes, devraient lire ce livre !
C'est sur Livraddict que j'ai trouvé ce challenge, et déjà que je trouve l'idée géniale, c'est en plus un bon moyen de faire baisser ma PAL V.O. qui n'attend que ça ! Je viendrais éditer ce post de temps en temps pour mettre mon score ;-)
SCORE : 8 (au 06/06/2016)
Quelles sont les règles ?
Le challenge commencera le 1er octobre 2015 et durera jusqu'au 30 septembre 2016. Si vous voulez vous aussi y participer, cliquez ici pour rejoindre le sujet du forum de Livraddict. Les tomes de sagas ne comptent que pour une lecture, les nouvelles pour une demi-lecture et les recueils de nouvelles pour une lecture. L'objectif principal est bien sûr de lire en V.O., mais aussi de baisser sa PAL et de se faire plaisir.
Mes lectures V.O. pour le challenge :
- Grave Mercy (His Fair Assassin, #1) de Robin LaFevers
- A Walk to Remember de Nicholas Sparks
- The Red Queen de Philippa Gregory
- Longbourn de Jo Baker
- Emma de Jane Austen
- Poison de Sarah Pinborough
- To Kill a Mockingbird de Harper Lee
- All the Bright Places de Jennifer Niven.
Une énigme millénaire. Des indices aux quatre coins du globe. Une destinée extraordinaire. Ils ont le pouvoir de faire fermer Prada pour une session shopping privée. Mais aussi celui de déclencher une nouvelle guerre mondiale. C'est cette incroyable famille qu'Avery West se découvre à dix-sept ans. Ses membres appartiennent à une redoutable société secrète, le Cercle, qui voit en Avery la clé d'une prophétie millénaire. Écartelée entre des factions rivales, Avery va devoir lever le voile sur l'énigme de ses origines. Accompagnée de deux garçons du Cercle, le beau Stellan à l'humeur changeante et le ténébreux Jack, elle se lance dans une quête qui va la mener du musée du Louvre aux bazars d'Istanbul. Au cœur de la conspiration, Avery va devoir choisir entre sa liberté et sa famille, mais aussi entre le garçon qui pourrait l'aider à sauver l'humanité et celui qui fait battre son coeur. Le premier tome d'une trilogie best-seller aux États-Unis, à la croisée de La Sélection et du Da Vinci Code !
Mon avis :
Quel premier tome original ! Avery est une jeune fille de dix-sept ans, qui vit seule avec sa mère et qui ne cesse de déménager pour le travail de celle-ci. Mais bien sûr, quelque chose de louche se cache derrière tout ça. On part alors dans une aventure qui fait le tour de la planète, on part des Etats-Unis, pour aller à Paris puis à Istanbul et enfin, revenir à Paris pour la fin de ce premier tome. Ce roman est riche en rebondissements, c'est le moins que l'on puisse dire ! Stellan et Jack sont deux personnages masculins très forts, j'imagine qu'un triangle amoureux va se former dans les deux prochains tomes (parce que sinon, c'est pas drôle...) et j'avoue que j'ai du mal à choisir lequel je préfère tant ils sont différents. Stellan est drôle, puissants, violent quand Jack est apaisant, rassurant et beaucoup plus tendre avec Avery et n'hésite pas à lui dire ce qu'il sait du mandat.
Malgré tout, Avery est une héroïne que j'ai trouvé naïve, elle se lance dans cette histoire sans même connaître les deux garçons, et prend l'avion pour partir à Paris sans se poser de questions. C'est quand même pas du tout réfléchi et pas sérieux... Mais pour du Young Adult, c'est normal. Malgré de petits détails, ce premier tome de la Conspiration est un excellent premier tome et la fin... LA FIN ! Cette fin est absolument affreuse et je regrette presque de ne pas avoir attendu que le second tome soit sorti pour lire celui-ci (oui, c'est horrible à ce point !).
C'est un premier tome très original et très dépaysant, avec beaucoup d'action et de rebondissements, on rencontre des tas de personnages aux origines différentes et l'enquête est très bien menée ! J'ai été totalement happée par cette histoire et j'ai vraiment, vraiment, vraiment hâte de lire le second tome !
Au Steere House de Providence (Rhode Island), centre qui accueille des patients atteints des maladies d'Alzheimer et de Parkinson, les infirmiers et les médecins ont remarqué qu'Oscar effectue des rondes, et se couche auprès des mourants quelques heures à peine avant leur décès.
Si cet étrange don a donné lieu à une nouvelle procédure (l'équipe médicale prévient la famille dès qu'Oscar s'allonge au côté d'un malade), il a également suscité le débat chez les scientifiques.
Le chat serait-il en effet capable d'identifier l'odeur spécifique de la mort ou serait-il sensible aux infimes modifications physiologiques précédant le décès ?
Quoi qu'il en soit, vingt-cinq cas ont été avérés en trois ans. Et l'hôpital a tenu à remercier le félin en faisant graver cette plaque, apposée dans le hall : « Un grand merci à Oscar le chat pour son aide compatissante. »
Mon avis :
J'avais vaguement entendu parler de cette histoire, je crois que c'était aux informations ou dans un journal, colonne faits divers. Un chat qui venait accompagner les personnages âgées lors de leurs derniers moments, qui s'allongeait près d'eux et leur tenait compagnie jusqu'à leur décès. Il ne s'était jamais trompé.
J'ai donc commencé ce témoignage en sachant de quoi il allait parler, mais j'ai quand même été surprise. Oscar, ce chat, n'est finalement qu'un prétexte pour parler de Steere House et de la condition de fin de vie des personnes âgées, des soins palliatifs et de cette fameuse maladie qu'est la démence et dont la plus connue est Alzheimer. Le médecin et auteur, David Dosa, est d'abord très sceptique dans l'infirmière en chef lui parle de ce chat qui semble deviner quels patients vont décéder et qui se couche sur leur lit dans les derniers jours de leur vie. Ce médecin, c'est un peu comme le lecteur : on a tendance à ne pas vouloir croire à une telle histoire. Un chat, ça peut faire des tas de choses qu'on ne comprend pas, et décider aller à tel endroit à tel moment peut être un pur hasard. Mais les coïncidences sont nombreuses et il décide de contacter les familles d'anciens patients pour connaître leur avis. Et ça ne trompe pas : Oscar était présent à chaque décès, et leur a apporté réconfort et de la compagnie.
Finalement, ce témoignage qui est presque construit comme un roman (si vous n'aimez pas les témoignages, laissez vous quand même tenter !) ne parle pas tellement d'Oscar le chat, puisque l'on ne sait pas grand chose de lui, mais beaucoup plus de l'aspect médical et des patients, des familles et des soins. On en apprend énormément sur la démence et toutes les sous maladies qui existent, les symptômes, les traitements de fin de vie... C'est un témoignage plutôt instructif. Si vous voulez une histoire toute mignonne sur un chat tout gentil, ce n'est pas vraiment ce livre que je vous recommanderais... J'ai d'ailleurs trouvé certains passages plutôt longuets et pas forcément utiles, mais la plume de David Dosa rend le tout très facile à lire. Je suis loin du coup de cœur, mais je suis contente de l'avoir lu et d'avoir appris certaines choses.
Employé discret, Guylain Vignolles travaille au pilon, au service d’une redoutable broyeuse de livres invendus, la Zerstor 500. Il mène une existence maussade mais chaque matin en allant travailler, il lit aux passagers du RER de 6 h 27 les feuillets sauvés la veille des dents de fer de la machine… Dans des décors familiers transformés par la magie de personnages hauts en couleurs, voici un magnifique conte moderne, drôle, poétique et généreux : un de ces livres qu’on rencontre rarement.
Mon avis :
Un livre qui parle de livres, quoi de mieux pour les passionnés de lecture ? Cette sortie poche n'est pas passée inaperçue et je me suis donc laissée tenter. Je ne regrette absolument pas.
Le liseur du 6h27, c'est l'histoire de Guylain Vignolles, employé dans une usine qui détruit des livres invendus et qui pompe toute son énergie, toute sa joie de vivre, mais qui, chaque matin lors de son trajet en RER, lit quelques feuillets trouvés lors du nettoyage de la machine de l'usine à haute voix aux autres passagers, intéressés ou non. C'est un petit roman qui se lit très vite, et malgré un début un peu lent où je ne voyais pas trop où l'auteur voulait en venir, j'ai réussi à finalement me plonger dans cette histoire et je l'ai trouvé très tendre. Guylain est un personnage très attachant, que l'on aimerait protéger, rencontrer, aider...
L'écriture de Jean-Paul Didierlaurent est très agréable et nous fait passer par toutes sortes d'émotions. Le mal être de Guylain est presque palpable et toutes ces petites aventures qui viennent chambouler sa vie grâce à la lecture mettent vraiment du baume au coeur du lecteur, qui lui (normalement) comprend bien cet amour pour les livres. Les personnages principaux sont très attachants et la quête des derniers chapitres pour retrouver la fameuse Julie m'a vraiment tenue en haleine. Mais finalement, à part la deuxième partie concernant cette fameuse clé USB et cette dame-pipi, il ne se passe pas énormément de choses et c'est plutôt lent, sans pour autant être désagréable. L'atmosphère générale du livre est très triste et terne au début, et glisse progressivement vers quelque chose de bon, de doux, nous laissant apparaître les bienfaits de la lecture et des rencontres que cela peut apporter. La fin était très touchante également. Un petit feel-good book qui plaira à tous les fans de lecture.